Avoir un toit sur la tête est un droit fondamental et la première des dignités. ”Jamais sans toit” est constitué de différentes saynètes qui traitent de la question du logement sous divers angles. Le groupe est constitué d’habitants de Hastière. Certains habitent les villages, d’autres viennent des habitats permanents des différents domaines disséminés sur le territoire de la commune.
”Les yeux de la grenouille” raconte l’histoire d’une lutte d’habitants d’une localité située entre deux frontières qui se voient envahir par un mégaprojet prometteur de nombreux emplois mais également source de nuisances et de destruction de la biodiversité.
Que faire ? Laisser faire et se laisser persuader par l’éternel discours sur le développement économique d’une région ou enfin réagir à tout ce qui tue à petits feux notre planète ?
Et les grenouilles, qu’est-ce qu’elles en pensent de tout ça ?
Il y a des expériences de vie qui nous chiffonnent, qui laissent des traces visibles et/ou invisibles.
Parfois, on en marre. Marre des démarches administratives, des jugements. On a envie de crier, de tout jeter à la poubelle, de prendre des médicaments pour que la détresse s’adoucisse, un peu… Parfois, on est seul. Seul chez soi, seul dans sa tête.
Parfois, on sort de chez soi, on fait des rencontres, on a moins peur, on rit, on écrit, on invente, on met de l’humanité entre nous et ça, ça fait vachement du bien !
« Parfois, tout est tué, perdu, pendu haut et court, parvenu à son point de non-retour. Plié, rejeté, cramé, trahi, râpé, raté, enterré, foutu. Et puis, toujours, une porte s’ouvre, quelqu’un vient, on passe à un autre monde, on change la vie (…) »
Ce texte écrit par René Beaulieu (01/04/2024) décrit, avec poésie et justesse, l’essence de la dernière création collective du spectacle « T’en fais des caisses ! ».
Récits de vies, violences, espoirs, mots et silences vont nous emmener à ouvrir des fenêtres, à déballer des cartons, à tirer des fils, à voir l’ombre et la lumière.
Nous sommes dans le quartier de la verrue.
Des inondations apocalyptiques s’annoncent. Des habitants du quartier, oubliés par les autorités décident de rester dans leurs habitations
Quand l’eau déferle sur la région, ils se retrouvent rapidement coincés sur les toits.
Tels des Robinson Crusoé, ils sont les derniers naufragés d’un monde qui court à sa perte…
Quelques années après que « Crystal » ait terminé sa quête et qu’elle soit revenue dans le monde des humains, elle a tout tenté pour faire passer son message ! Quelques graines ont été semées en cours de chemin…Certaines personnes se mettent finalement en quête de solutions ! Sur le chemin, vont-ils rencontrer les bonnes personnes pour obtenir la réponse ou devront-ils repartir en quête de la solution ultime ?
La sorcellerie a de tout temps fasciné les hommes et les femmes. C’est à la fin du Moyen-Age, grande époque des pratiques sataniques, que la chasse aux sorcières est à son apogée. Entre les séquences de Sabbat, les possessions, le pacte avec Satan, les sorcières ont dû faire face à la brutalité et à la perversité des inquisiteurs. Accusées de copuler avec le diable, d’envouter les hommes, d’user de magie noire, les sorcières ont été pendues, immolées, noyées, harcelées, torturées. Ce spectacle met en scène différentes histoires de sorcières (et de sorciers, car oui il y en avait aussi) et leur triste destinée. Mais parle-t-on seulement des sorcières de la Renaissance ?
Dans les rayons vides d’un supermarché, c’est la panique : presque plus rien à vendre ! Ce blocage de l’approvisionnement par les agriculteurs déclenche la réflexion des clientes et des travailleurs du magasin : si les producteurs sont mal payés et les salaires des employés restent bas, où va le surplus d’argent généré par la hausse des prix ?
Un groupe loufoque est déterminé à aller jusqu’au sommet de la hiérarchie de la grande distribution pour trouver des réponses et surtout… des solutions !
Ce spectacle aborde avec humour et émotion les soins de santé de nos jours, mettant en scène des patients et des médecins de la Maison Médicale Bautista van Schowen à Seraing. Le décor est une salle d’attente, où la question de l’attente dans notre système de santé est explorée.
