C'est PAS du cinéma

Par le biais du théâtre, je me suis mis à inventer des histoires. Et à travers mes histoires, je me suis mis à rencontrer des fantômes ou plutôt, des invisibles…
Tous ces gens qui pour une raison ou pour une autre, ont vu leur existence basculer, confisquée, bafouée.
Des gens qui du jour au lendemain, suite à un accident, un accident de la vie, se sont mis à errer comme des fantômes. Et d’autres qui sont nés de l’autre côté. De l’autre côté de notre monde…

C’est PAS du cinéma, c’est une douzaine de personnes présentant un handicap mental léger ou cérébrolésées, qui se réunissent chaque lundi pour faire du théâtre. Pour créer une pièce, où se jouent les petits et grands tracas de leurs quotidiens, avec humour, passion, colère et toujours une grande humanité.

DiscriMigrations

Impossible d’empêcher les couleurs de se mélanger. Alice est blanche. Saïd un peu moins. Et leur enfant porte le mélange de leur amour tatoué sur la peau. Le prix à payer ? Quelques préjugés, des remarques désobligeantes, des discriminations. Alors, comment réagir lorsque des voyageurs plus foncés qu’eux font irruption dans leur vie ?
Après tout, ils sont sur le même bateau. Oui, mais quand le découvriront-ils ?

Il y a d’un côté de la Méditerranée, très loin au sud, des migrants qui ne se savent pas encore acteurs. Il y a de l’autre côté de la Méditerranée, très loin au nord, les acteurs du Collectif Libertalia qui n’ont aucune expérience en termes de migration. Ils se rencontrent à Bruxelles, et c’est l’occasion de monter un spectacle qui leur ressemble, une pièce de théâtre qui les rassemble. Qui parle de leurs expériences, de leurs peurs à tous et de la manière de les affronter ensemble.

Ainsi sont-elles

Contraception, éducation, regard des autres, bien-être familial… Connaissez-vous cette capacité qu’ont beaucoup de femmes, sans doute acquise par un certain conditionnement, à se rendre responsables de tout ? C’est ce qu’on appelle la charge mentale.
Le spectacle aborde avec humour et bienveillance, la place de la femme dans la famille, dans le couple, au travail, en politique mais aussi dans les relations qu’elles entretiennent entre elles.

Kablash

Elles sont là. Accueillies. Invitées. Attendues.
Des chaises, un tabouret, un rendez-vous sur le fil.
Frontière entre le dehors qui grouille et le dedans qui bat.
Une lueur à l’horizon … Leur refuge. Déliré, fantasmé, exposé.
Un rempart pour exister.
Welcome & Bienvenue !