FragileS

« Sur scène, cinq hommes et cinq femmes…
Chacun, chacune cherche sa place dans un monde instable, au milieu de pressions familiales, sociales ou professionnelles parfois écrasantes.
Chacun, chacune incarne à sa manière notre sensible et fragile humanité. »

Secousses

Dans un petit café de quartier, un groupe d’individus se retrouve régulièrement, chacun porteur de sa solitude, de son histoire, de ses luttes personnelles. Un jour, un mystérieux « IL », figure insaisissable, vient troubler la quiétude du lieu avec de grands projets de changements. Alors que la tension monte, le café devient le théâtre de bouleversements.
Les personnages parviendront-ils à maintenir ce refuge qu’ils ont tous choisi ? Leur bulle résistera-t-elle au choc ?


« Secousses » est une création collective qui invite le spectateur à réfléchir à l’impact des évènements extérieurs sur nos vies intimes et collectives et à notre capacité à y résister ou à s’y soumettre. Un projet qui donne voix à celles et ceux dont la vie est affectée par les secousses de notre époque.

Lucioles

Un monde

La lumière disparaît

Des êtres

Cherchant le moyen de ne pas sombrer

 Est-ce une fatalité ?

Ils essayent, se confrontent

Une tentative ?

Zone de non-droit

Caleb est arrivé en Belgique afin de suivre des études. Mais, dans le sillage des logiques de discriminations racistes de l’État belge, les conditions d’accès aux études pour les personnes d’origine étrangère se durcissent d’année en année. Ces politiques précarisent et fragilisent des étudiant·e·s qui se retrouvent alors exposé·e·s aux risques de l’arrestation, de l’enfermement, de l’expulsion : ce sera le cas de Caleb. Arrêté suite à un contrôle au faciès, le jeune garçon se retrouve en centre fermé et subit plusieurs tentatives d’expulsion, dont la dernière est particulièrement violente.

Soutenu par des camarades militant·e·s, Caleb s’engage alors dans un combat judiciaire pour que justice soit rendue et réparation obtenue. Quels sont les leviers possibles au sein des tribunaux quand il s’agit de remettre en question les agissements de l’État ? Quelles sont les failles et les limites ?

Féministe n’est pas un gros mot

Elle ne se rase pas, Elle déteste les hommes, Elle est enragée : les préjugés et les idées reçues sur les féministes ont encore de beaux jours devant eux dans un contexte où de plus en plus de voix s’élèvent pour défendre les droits des femmes. Le mot « féministe » fait peur. Nombreux·ses sont celles et ceux qui ne souhaitent pas y être associé·es. Le mot « féministe » agace. Est-il vraiment encore nécessaire de parler de militer pour l’égalité des genres dans une société où tout est déjà acquis ? Si en Belgique des normes et des lois qui prônent l’égalité ont été mises en place, leur application concrète ne coule pas encore de source et les discriminations de genre sont solidement ancrées dans la réalité de millions de femmes, à tout âge. Alors, pourquoi et pour quoi faut-il encore se battre aujourd’hui ? Pour répondre à cette question, les Chanceuses de Solidarité Femmes deviennent les émissaires des luttes féministes quotidiennes ; celles des métros, des rues, des salons, des tribunes, des bureaux,… en clamant avec force et légèreté que “féministe n’est pas un gros mot”.

Métro, boulot, chaos

« Métro, boulot, chaos »
– Comment ça va ?
– Boh, comme un lundi…
– Un p’tit café ?
– Allez c’est parti !

La machine à café est devenue un symbole du lieu de travail. Ici se croisent les heurts et malheur du monde professionnel : Pressions diverses, Burn out, Individualisme forcené, Reconversion forcée…A chacun sa variété et son parfum.

Et pour tous les chômeur qui ne connaissent pas les joies des espaces détente, rassurez-vous un(e) conseiller(ère) emploi va s’occuper personnellement de vous…

Un expresso corsé de création collective aux arômes subtiles et féériques.

A déguster sans modération si vous supportez la pression…